Une agréable soirée

Accompagnées de mes Maitres nous entrons dans un lieu mystique, où nous attendent déjà un couple de soumis et un couple dominant/ soumis

Le noir est de rigueur Je suis vêtue d’un pantalon noir avec un boléro laissant apparaitre le soutien gorge. Apres les présentations, Maitre invite les soumis dans le donjon il installe une soumise face à la croix, un soumis au coin devant une glace, quand à moi, je me retrouve au pilori. Puis les coups pleuvent sur les fesses des soumis.

Ayant oublié d’enlever le pantalon, je reçu une double ration de fessées. Puis, Maître m’ordonna de l’ôter ainsi que le reste des vêtements, m’installa devant la croix et demande au maître des lieux de me fouetter, car je ne suis pas très sage avec mon Maître. Apres cette série de fessées, Maîtres et Maitresses soulagent nos fesses.

Autorisation de boire un coup. Ensuite, un drap est mis parterre. Nous, les soumis, nous allongeons, pendant que les Maîtres préparent leur matériel. Soudain, un liquide chaud se répand sur chacun de nous, sur les différentes parties du corps Nous, les soumis, nous nous tenons les mains afin de nous soutenir mutuellement. La cire chaude coule lentement, sur chacun d’entre nous, des cris fusent, « aie », ça brule, que ça fait mal » entre mêlé de rire. Les dominants en profitent. Ils en coulèrent davantage sur nos corps Pour ma part mon corps était plein de cire que j’enlevais, mais Mes Maitres aussitôt en remettaient. Mon Maitre me demanda de souffler sur la bougie La séance de cire est terminée. Les Maîtres nous invitèrent au salon, nous asseyons sur les fauteuils. Maître, nous demanda de nous mettre à genoux, les fauteuils sont réservés aux dominants.

Le maître emmena le couple de soumis au donjon, je restais seule à genoux au salon. Lorsqu’il revient je demande l’autorisation de me relevé, la réponse est négative, je lui réponds que je suis la seule à genoux. Sur ce il me fit relever mais je dus me mettre au comptoir et j’ai reçu des coups de martinet et du fouet. Puis m’ordonne de me remettre à genoux face aux dominants.

Pendant ce temps Maître attache-le soumis dans le salon, après lui avoir administré des coups de cravache et du martinet, Maître m’ordonna de le sucer. Je m’exécutais.

Lorsque je pris son pénis dans la main celui-ci était froid, par délicatesse, je le pris entre mes deux mains afin de le réchauffer, mais son pénis restait froid, je le mis en bouche, puis le suçais, avec sensualité, mais celui-ci restait froid, je n’arrivais pas à réchauffer son pénis. Je n’ai pas réussi à le faire bander, le pauvre était transi de froid. La soirée se termina par un dernier verre au bar.

Ce fut une agréable soirée qui demande à être renouvelée. Merci aux Maîtres et Maîtresses